« La liturgie des Anges » par Alex Parker

Bonjour tout le monde !

Aujourd’hui nous nous retrouvons pour parler de « La liturgie des Anges. Tome 1 : L’idiosyncrasie » écrit par Alex Parker.

L’auteur.

Rédiger ma biographie, si brève soit-elle, est un exercice qui m’est particulièrement difficile. Il me faut avouer n’apprécier que très peu parler de moi, surtout à la troisième personne du singulier. Par respect pour le lecteur, je vais griffonner des « bribes » de ma vie à l’encre virtuelle.

Je suis de ces personnes qui se sont construites seules, un autodidacte en somme.

Quant à savoir ce qui m’a dirigé vers l’écriture :

Certains auteurs se sont mis à écrire par envie, d’autres au contraire ont été poussés par les écueils de la vie, par ces épreuves qu’il leur a fallu traverser et qui, pour une raison qu’ils ignorent, ont fait naître le feu de l’écriture en eux. Personnellement, c’est lorsque la vie m’a heurté au point de taire toutes mes paroles, que les mots ont pris naissance en moi.

Concernant La liturgie des anges, il m’aura fallu plus de deux ans et demi pour l’achever.

Vous pouvez me joindre par mail
alexparker. auteur [at] gmail.com

Via Facebook :
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Biographie d’Alex Parker sur sa page Amazon.

Le synopsis.

Hacker multimillionnaire sans identité et sans attache, Ted Smith ignore que les données ultrasensibles qu’il vient de dérober vont bouleverser sa vie à jamais.
Traqué par les Services de Renseignement, il apprendra bientôt qu’il est porteur d’un effroyable virus semeur de mort. Mais ce n’est là que le début de révélations bien plus extraordinaires…

Misanthrope pourtant doué d’empathie, Ted se refuse à excuser le comportement de ses semblables. Il parvenait jusque-là à se dissimuler aux yeux de la société… Qu’en sera-t-il à présent ?
Qui est-il vraiment ? Quelle est l’étendue de ses pouvoirs ? Et quel est son véritable rôle ?
Découvrez l’histoire d’un homme dont la destinée pourrait bien embraser celle de milliards d’individus, voire de l’humanité tout entière !

« De New York à Los Angeles, en passant par Hawaï, l’auteur nous embarque dans les méandres d’un récit hallucinant et atypique, entre course poursuite aux multiples rebondissements, quête d’identité, recherche de vérité, et voyage aux confins de l’univers. » —
Rebecca Greenberg



L’histoire.

Vous connaissez certainement l’expression disant d’une mauvaise journée qu’il aurait mieux fallu rester couché. C’est ce que Ted Smith a dû se dire plus d’une fois !
Ted vivait une vie tranquille dans le luxe grâce à ses activités de hacker. Organisé et méticuleux, au point d’avoir plusieurs logements et plans d’évasions en cas de soucis, il était parvenu à rester hors radars des agences américaines jusqu’à tomber sur la mauvaise cible dans un café.  Dérobant sans le savoir sur le moment des données ultra-sensibles et compromettantes, il se retrouve pris en chasse par l’agent Marcus Spencer de la DIA (Defense Intelligence Agency).

Jouant quelque temps au jeu du chat et de la souris, ces deux personnages se retrouvent en présence de deux menaces inattendues qui vont les contraindre à joindre leurs forces. La première : le virus mortel dont Ted est porteur, virus qui cause la mort immédiate de toute personne à proximité ayant un pic d’adrénaline et souhaitant faire du mal à Ted. La deuxième ? Les mercenaires d’un dénommé Sacha, ce dernier s’intéressant de très près à Ted Smith ainsi qu’à ses pouvoirs…

Dès cette situation, nous nous enfonçons progressivement dans un monde où la réalité prend parfois des airs de fiction (de science-fiction même !) et où les limites entre le bien et le mal se troublent au point où le lecteur ne sera jamais réellement convaincu des intentions de chacun des protagonistes. Entraînant Ted Smith dans un périple mené tambour battant vers la compréhension de ce qu’il est véritablement.

Mon avis.

Je reste dans les expressions puisque l’auteur en utilise une qui interroge véritablement à la lecture de cette histoire : « l’ennemi de mon ennemi… »
Celle-ci sera mise à mal car l’ennemi peut parfois se révéler ami et inversement. Entre ces trois forces (Ted — la DIA — Sacha) les intérêts et conflits peuvent être mutuels ou divergents en fonction de l’évolution de l’intrigue, ce qui donne matière à certains retournements de situation dont on ne s’attendait pas !
Le mal et le bien sont deux concepts vagues et de toute évidence Alex Parker n’avait pas pour envie de délimiter clairement ces deux zones. Bien au contraire, il nous dépeint ici un monde où les deux notions pourraient s’avérer être la même face d’une pièce.

Je m’avance quelque peu en lisant entre les lignes, mais nous pourrions également y voir une forme de mise en lumière des dérives que peuvent engendrer des institutions gouvernementales, des compromis entre justice et voyous, ainsi que des justifications de type « dommages collatéraux » et « mal nécessaire » que ces mêmes organisations peuvent utiliser afin de servir des intérêts obscurs et douteux qui ne sont pas toujours pour le bien du monde et de ses habitants.

Tout ceci se trouve légèrement pimenté par ce virus qui apporte une touche de fantastique et offre au personnage de Ted une quête qui le conduit vers un voyage initiatique censé lui offrir une explication logique et rationnelle aux événements.

L’auteur manie bien la langue et aime à le démontrer dans son texte. Je le reconnais, j’ai utilisé à plusieurs reprises l’option dictionnaire !  En plus de découvrir une histoire passionnante et vraiment bien rythmée, cela rend l’expérience enrichissante. Que demander de plus ?



Conclusion.

J’ai été véritablement stupéfait et complètement emporté par cette histoire. La dynamique de l’intrigue est agréable, les personnages se montrent sous diverses facettes, tantôt aimable tantôt méprisable. Il faut dire que Ted Smith ne donne pas beaucoup de sa personne pour être apprécié, c’est un personnage aussi intelligent qu’arrogant qui se veut insensible au monde. Néanmoins, le mystère autour de sa personne et les situations qu’il va traverser révèlent un personnage moins froid que de prime abord.
Vous me connaissez, j’adore les histoires qui poussent à la réflexion. Et avec « La liturgie des anges », j’ai été agréablement servi ! Le mystère de ce virus nous tient en haleine tout le long du récit. Simple fait du destin, intervention divine ou cosmique ? Chaque début de réponse apporte un flot de nouvelles questions.

 C’est le genre de livre qui nous fait lâcher un grand « WAOUH ! Encore ! » à la fin de la lecture. D’ailleurs, « waouh » c’est ce que je me suis dit lorsque Alex Parker a présenté sur un groupe Facebook la couverture réalisée par Matthieu Biasotto. On peut également saluer : Rebecca Greenberg, Sarah Auger, Christian de la Vaissière, Jean-Michel Alimi et tous les bêta-lecteurs/lectrices pour leurs diverses implications dans ce projet.

Ce livre est un gros coup de cœur que je vous invite vivement à découvrir ! J’attends la suite avec une énorme impatience et la certitude que ce sera encore un moment de lecture incroyable.


Carte d’identité du livre.

Titre : La liturgie des anges : Tome 1 : – l’idiosyncrasie
Auteure : Alex Parker
Édition: Auto-édition
Date : 2018
ASIN : B07F3HMZFS
Obtention : Service de Presse (?)

Disponible en ebook et broché :

(En achetant via cette vignette vous permettez au site leschroniquesdejohn.fr de survivre ! Explications sur l’onglet « Comment me soutenir ? »)

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